La mise à jour 1.32 de Gran Turismo® 7, qui sortira gratuitement le jeudi 27 avril sur PlayStation 5 et PlayStation 4, ajoutera quatre véhicules supplémentaires, de nouveaux livres de menu pour le mode GT Café et deux nouveaux lieux au Royaume-Uni et au Japon pour le mode Scapes, ont annoncé Sony Interactive Entertainment et le studio Polyphony Digital dans un communiqué de presse.
Parmi les nouveaux véhicules figurent les voitures japonaises Super Formula. Il s’agit de deux modèles exclusifs qui viennent de faire leurs débuts dans le premier championnat japonais de monoplaces. Les Dallara SF23 Super Formula sont disponibles en deux versions, l’une à moteur Honda et l’autre à moteur Toyota. Deux designs de leurs versions de développement peuvent être choisis : “tigre rouge” et “tigre blanc”.
Une autre voiture ajoutée à la version 1.32 est la Jaguar XJ220, une supercar du début des années 1990 nommée d’après le premier véhicule commercial de l’époque à atteindre 220 miles par heure (ou 354 kilomètres par heure). “Elle était à l’origine propulsée par un moteur V12, mais la voiture finalement dévoilée au salon de l’automobile de Tokyo a opté pour un V6 turbocompressé de 3,5 litres”, explique Polyphony Digital. “Son châssis en aluminium et en Kevlar est similaire à celui d’une voiture de course. Il intègre également un panneau inférieur pour l’effet de sol.
Enfin, la Mercedes-AMG GT3 2020 rejoint le garage, basée sur le modèle emblématique de 2014 qui a concouru en FIA GT3 deux ans plus tard. La nouvelle version bénéficie d’une plus grande longévité du moteur, d’une face avant redessinée pour protéger le radiateur et d’améliorations aérodynamiques au niveau de l’aileron et du diffuseur arrière, ainsi que de nouvelles optiques (à l’avant et à l’arrière) et d’une réduction de poids notable.
Une ode au monde du sport automobile
“Gran Turismo® 7 est une ode au monde du sport automobile, un hommage à l’histoire des voitures, un musée vivant qui nous permet de découvrir davantage de nos voitures préférées, de les regarder, de les modifier esthétiquement ou visuellement et de les conduire pendant des heures et des heures sur toutes sortes de circuits, en profitant d’une expérience très réaliste à presque tous les égards”, peut-on lire dans notre critique.